L’intégration de Posos permet aux médecins de gagner du temps à l’admission des patients grâce à l’automatisation de la transcription et l’analyse des ordonnances. L’objectif est de sécuriser les transcriptions en réduisant les risques d’erreurs liés à la saisie. L’outil est déjà utilisé opérationnellement par 85 000 professionnels de santé, dont 45 000 médecins.

Le groupe Softway Medical et la medtech Posos actent d’un partenariat visant à de permettre aux praticiens de santé de gagner du temps dans leur pratique et de réduire les erreurs de retranscription d’ordonnances. Les fonctionnalités de Posos, basées sur des concepts d’Intelligence Artificielle, permettent de recopier les ordonnances papier des patients directement dans le logiciel métier pour sécuriser la prescription et fournir une aide à la décision grâce à la proposition d’alternatives thérapeutiques pour les patients.

Avec Posos, il suffit désormais au médecin de prendre une photo d’une ordonnance avec son téléphone, sa webcam ou d’utiliser un fichier PDF pour que l’algorithme analyse dans l’ordonnance l’ensemble des médicaments. Ces données sont ensuite automatiquement exportées vers le DPI Hopital Manager dans un format structuré. Depuis 2017, Posos propose un outil basé sur une technologie propriétaire qui agrège et actualise quotidiennement plus de 20 millions de documents issus de 220 sources médicales différentes (ANSM, Thériaque, critères STOPP de prise en charge gériatrique, etc.). La recommandation thérapeutique est personnalisée grâce à la capacité de l’outil à croiser des données médicamenteuses avec la pathologie du patient, son état de santé et les risques identifiés dans son ordonnance. Sherley BROTHIER, CTO de Softway Medical précise que « En conjuguant simplicité d’usage pour les praticiens et technologies de pointe, la solution Posos s’aligne parfaitement avec notre mission : offrir des réponses utiles aux acteurs de l’offre de santé. Par ailleurs, ce partenariat renforce encore nos positions dans le continuum de soins et nous permet d’adresser avec pertinence un enjeu de santé publique : la diminution du nombre d’hospitalisations et de décès liés à des erreurs médicamenteuses. ».